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Lire ensemble les signes des temps : la sécurité des enfants est essentielle

21 Juil, 2023

Lors d’une convocation de « Catholic Care for Children » à Nairobi (Kenya) en mai 2023, le Secrétaire de la Commission Pontificale pour la protection des mineurs, le Père Andrew Small, a déclaré que les agents pastoraux « doivent rétablir une culture du soin, en plaçant la dignité de la personne humaine au cœur de la mission de l’Église ». Plus de cent agents pastoraux de la Protection de l’Enfance ont appelé à respecter et à protéger la dignité de la personne humaine et à proclamer la vérité de l’amour de Dieu comme mission fondamentale.

Citant le pape François, P. Andrew a insisté en disant : « Les principes du respect de la dignité de tous, d’une bonne conduite et d’un mode de vie sain doivent devenir la règle universelle, indépendante de la culture ou de la condition économique et sociale des personnes ».

Il a demandé aux participants venus du Kenya, d’Ouganda, du Malawi et du Sri Lanka de se concentrer sur la relation entre Dieu et l’humanité. Une relation avec Dieu qui est saint, inclut le devoir de prendre soin des personnes les plus vulnérables. Il a également souligné la nécessité de revoir les directives de sauvegarde de l’enfance, de bonnes politiques et procédures, de renforcer les capacités pour combler des lacunes et de rendre compte annuellement de la responsibilité et de la transparence aux parties prenantes, en particulier aux survivants.

La sécurité des enfants est essentielle et Jésus les a désignés comme don de Dieu, précieux à ses yeux.
Sœur Nirmala Arul (Institut de la Bienheureuse Vierge Marie) a demandé à chacun des participants de réfléchir à son rôle, en particulier en ce qui concerne le fait de favoriser un environnement sûr et sain pour les enfants, où ils reçoivent la sécurité dont ils ont besoin pour se développer et s’épanouir, et pour être en mesure de réaliser leurs espoirs. Comme le dit le proverbe africain : « Il faut un village pour élever un enfant ».

L’intérêt supérieur de l’enfant devrait être le principe directeur pour un développement holistique de l’enfant et un meilleur avenir de la famille, de l’Église, du pays et du monde dans son ensemble.

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