Créé par les Nations Unies en 1992, lors de la Conférence mondiale sur l’environnement et le développement à Rio de Janeiro au Brésil, cet événement mondial sert de plateforme pour souligner la grave crise de l’eau qui touche des centaines de millions de personnes dans le monde. 2,2 milliards de personnes n’ont en effet pas accès à l’eau potable.
Le 22 mars, les Missions Salésiennes de Don Bosco se sont jointes à d’autres groupes humanitaires pour marquer cette Journée mondiale, commémoration dirigée par les Nations Unies pour attirer l’attention sur la nécessité d’avoir de l’eau potable et propre.
Les Salésiens ont souligné que cette journée plaide également « pour la gestion durable des ressources en eau douce ». Tout en rappelant la population mondiale qui souffre de problèmes liés à l’eau, la journée propose également des appels à l’action pour se préparer à la gestion de l’eau à l’avenir.
Le thème de la Journée mondiale de l’eau de cette année était axé sur la préservation des glaciers, en particulier sur l’atténuation du changement climatique et la nécessité de s’adapter au problème mondial de « la perte de glaciers pour protéger les communautés et les écosystèmes ».
Parmi les projets salésiens liés à l’eau mis en évidence dans l’annonce salésienne, il y a celui de Ngozi, une ville du nord du Burundi. Le lycée Don Bosco de Ngozi, au Burundi, travaille à la réalisation d’un projet d’assainissement qui est financé par une « Initiative Eau Propre » salésienne.
Le projet consiste à mettre en place des installations d’eau, des canalisations d’eaux usées et d’autres commodités nécessaires pour l’école, qui compte 1 248 élèves.
« Les Missions Salésiennes ont fait des projets d’eau potable une priorité dans les pays du monde entier pour répondre au besoin d’eau fraîche et propre pour boire, cuisiner et d’autres usages quotidiens », a déclaré P. Michael Conway, directeur des Missions Salésiennes.
« L’Initiative Eau Propre des Missions Salésiennes fait de la construction de puits et de l’approvisionnement en eau douce et propre une priorité absolue pour chaque communauté dans chaque pays où les missionnaires salésiens travaillent ».
